jeudi 4 octobre 2012
La guerre des six jours...
Israël-Palestine, 60 ans de violence
dimanche 30 septembre 2012
Bienvenue sur le site de la campagne « un Carton Rouge pour l’Apartheid Israélien »
Aidez-nous à convaincre l’UEFA de ne pas laisser le soin à Israël d’accueillir les phases finales du championnat d'Europe des moins de 21 ans en juin 2013.
Depuis un an, 42 clubs de football palestiniens de Gaza attendent une réponse du Président de l’UEFA Michel Platini à leur appel visant à ne pas récompenser Israël pour sa politique raciste à leur égard.
( http://cartonrougeapartheidisrael.weebly.com/ )
( http://www.change.org/fr/pétitions/m-platini-président-de-l-uefa-revenez-sur-votre-décision-d-organiser-l-euro-espoirs-2013-en-israël-3
Lire l'appel des clubs de Palestine )
S’il vous plaît, SIGNEZ LA PÉTITION et écrivez à Platini à info@UEFA.com en demandant à l’UEFA de dire à Israël qu’il n’accueillera pas l' Euro Espoirs de 2013.
Contactez l’équipe de la campagne à infocartonrouge@gmail.com
Cliquez ici pour plus d’informations.
>>>>> Carton Rouge pour l'Apartheid Israélien - Accueil <<<<<
Boycott Désinvestissement Sanctions (BDS) : Abrogation de la lettre – circulaire Alliot-Marie
En février 2010, la Ministre Alliot-Marie, alors Garde des Sceaux, demandait par une lettre - circulaire aux Parquets d’engager des poursuites contre les personnes appelant ou participant à des actions de boycott des produits déclarés israéliens. S’appuyant sur un article de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, elle assimilait ces actions à de la provocation à la discrimination ou à la haine raciale.
Nous demandons l’abrogation de cette circulaire scélérate qui attaque directement la liberté d’expression et vise, en tentant de les criminaliser, à museler des actions citoyennes et non violentes contre l’impunité d’un état, Israël, qui viole en permanence le droit, notamment par la colonisation.
Télécharger et faites signer la pétition sur le site de France-Palestine-Solidarité.
>>>> Boycott Désinvestissement Sanctions (BDS) : Abrogation de la lettre – circulaire Alliot-Marie - http://www.franc... <<<<
Parrainer un(e) prisonnier(e) politique palestinien(ne)s avec France-Palestine-Solidarité
Environ 4500 prisonniers sont à ce jour détenus dans les prisons israéliennes dont des femmes, des enfants, des personnes âgés et des personnes malades, en toute illégalité au regard du droit international. Ils ont besoin de notre solidarité.
En parrainant un prisonnier, vous vous engagez à lui écrire une fois par mois pour lui apporter votre soutien et le sortir de son isolement
Association France Palestine Solidarité ( cliquez sur le lien )
>> Parrainer un(e) prisonnier(e) politique palestinien(ne)s - http://www.france-palestine.org - Association France Palestin... <<
Khaled Méchaal souhaiterait abandonner la tête du Hamas
Khaled Méchaal, dirigeant politique du Hamas depuis 1996, est lassé des querelles au sein du groupe palestinien et n’est pas candidat à sa réélection, ont indiqué dimanche des sources politiques et diplomatiques. Depuis cinq mois, le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza depuis 2007, organise discrètement un scrutin auprès de ses militants dans les territoires palestiniens, les prisons israéliennes et les pays étrangers. Méchaal, qui vit en exil depuis seize ans, a déclaré au cours d’une réunion des principaux responsables du groupe au Caire, la semaine dernière, que sa décision de ne pas être candidat à cette élection était définitive, a indiqué une source proche du Hamas.
"Il leur a dit de choisir un nouveau dirigeant", a expliqué cette source. Ni Méchaal, ni aucun autre dirigeant du Hamas n’ont fait de déclaration publique sur le prochain dirigeant ou sur la réunion du Caire. Khaled Méchaal avait suscité la colère des dirigeants de la bande de Gaza en se mettant d’accord l’an dernier avec le Fatah, dont est issu le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, en vue d’une réunion future des territoires palestiniens sous un gouvernement unique potentiellement dirigé par le Fatah.
"L’impatience de Méchaal n’a cessé de croître récemment, certains responsables de la bande de Gaza ayant cherché à freiner des décisions qu’il avait prises au nom du groupe", a indiqué une source diplomatique dans la région.
Selon la même source, Méchaal est bien mieux informé sur la géopolitique mondiale et plus pragmatique que les dirigeants du Hamas qui ne quittent jamais la bande de Gaza.
Une autre source qui a suivi la réunion du Caire a indiqué qu’Ismaïl Haniyeh -le chef du groupe à Gaza- et Moussa Abou Marzouk, qui en a déjà été le dirigeant au début des années 1990, étaient les principaux favoris pour remplacer Méchaal.
Tous deux sont favorables à des relations plus étroites avec les pays arabes et avec l’Europe mais ils restent attachés à la position actuelle du Hamas, qui refuse de céder aux demandes occidentales de reconnaître à Israël le droit d’exister.
mardi 25 septembre 2012
dimanche 23 septembre 2012
Lexique : les principaux noms et termes du conflit israélo-palestinien
Fatah
Acronyme inversé de l'Organisation de libération nationale de la Palestine (signifiant "conquête" en arabe). Fondée au Koweït par Yasser Arafat en 1959. Le Fatah se lance dans la lutte armée contre Israël le 31 décembre 1964. Le mouvement, majoritaire au sein de l'OLP dès 1968, évolue vers la solution des deux Etats, et défend la création d'une Palestine à côté d'Israël, créée dans les territoires occupés en 1967 (Gaza et la Cisjordanie). Il approuve les accords de "reconnaissance mutuelle" signés en 1993 à Oslo. A partir de 1996, il incarne l'Autorité palestinienne – dont Yasser Arafat devient le président. Fragilisé par la mort de ce dernier en 2004, le Fatah peine à se réformer. L'enlisement du processus de paix le pénalise. Il est défié par le Mouvement de la résistance islamique (Hamas).
Au cours de la deuxième Intifada en 2000, le Fatah s'est doté d'une milice, les Brigades des martyrs d'Al-Aqsa (en référence à la mosquée de Jérusalem, troisième lieu saint de l'islam), qui a rivalisé avec celle du Hamas, y compris dans l'organisation d'opérations terroristes, mais des groupuscules ont progressivement échappé à son contrôle.
Hamas
Acronyme de Mouvement de la résistance islamique (signifiant "zèle religieux"). Créé à Gaza en 1987, lors de la première Intifada, par des membres de la branche palestinienne des Frères musulmans, dont le cheikh Ahmed Yassine (son leader jusqu'à sa mort le 22 mars 2004). Le Hamas a rejeté les accords d'Oslo, tandis que sa branche armée, les Brigades Ezzedine Al-Qassam (du nom d'un cheikh d'origine syrienne, membre des Frères musulmans, à l'origine d'une révolte contre les Britanniques et tué les armes à la main en 1935), a multiplié les attentats-suicides en Israël. L'enlisement du processus de paix et la crise économique ont renforcé son influence : le Hamas a remporté les élections législatives de janvier 2006, avant de prendre militairement le contrôle de Gaza en juin 2007.
Kadima
"En avant" en hébreu. Mouvement de centre droit israélien créé par Ariel Sharon en novembre 2005, après son départ du Likoud, opposé au retrait de la bande de Gaza. Kadima, qui prône dans sa plateforme l'instauration (dans un futur et des frontières indéterminés) d'un Etat palestinien, a été rejoint par des membres du Parti travailliste, dont Shimon Pérès. Privé de son fondateur (Sharon est victime d'un accident cérébral le 4 janvier 2006), le parti remporte, sous la houlette du premier ministre par intérim Ehoud Olmert, les élections législatives du 28 mars 2006 (21,8 % des voix, soit 28 sièges sur 120 à la Knesset, le Parlement israélien). Ehoud Olmert prend officiellement la tête d'un gouvernement de coalition en avril 2006.
"Ligne verte"
Ligne de cessez-le-feu arrêtée après les accords d'armistice israélo-arabes de 1949 et qui marquait la séparation entre Israël et la Cisjordanie avant la guerre de 1967 (guerre des Six-Jours pour Israël). Ce territoire alors sous contrôle jordanien est conquis par les Israéliens qui annexent plus tard la partie orientale de Jérusalem-Est.
Likoud
"Coalition" en hébreu, parti de la droite nationaliste israélienne. Formé en 1973 par Menahem Begin, fondateur du Hérout (droite nationaliste), allié au Parti libéral à partir de 1965. Il met fin au règne travailliste à la tête des institutions israéliennes en 1977. Il est aujourd'hui dirigé par Benyamin Nétanyahou, ancien premier ministre (1996-1999) qui a succédé à Ariel Sharon.
Clôture/mur
Système défensif construit par Israël en Cisjordanie à partir de 2002 pour faire échec aux infiltrations de Palestiniens. Cette "clôture de sécurité" pour Israël, "mur raciste de séparation" pour les Palestiniens, dont le tracé englobe la majeure partie des colonies israéliennes, annexe également 10 % des terres palestiniennes. Il consiste en une succession de murs, de tranchées et de portiques électroniques. Lorsqu'elle sera achevée, cette "clôture" mesurera plus de 700 km.
Parti travailliste
Héritier du Mapaï fondé en 1930 par David Ben Gourion, il a monopolisé le pouvoir entre 1948 (date de la création d'Israël) et 1977. Depuis 2001 et la défaite d'Ehoud Barak, dernier premier ministre travailliste en date, cinq hommes se sont succédé à sa tête : Benyamin Ben Eliezer (2001-2002), Amram Mitzna (2002-2003), Shimon Pérès (2003-2005), Amir Péretz (2005-2007) et Ehoud Barak, ancien premier ministre (1999-2001) qui a repris les rênes du parti le 12 juin 2007. Le nombre de députés travaillistes à la Knesset n'a cessé de baisser (19 aujourd'hui, contre 44 il y a quinze ans).
Mossad
Acronyme d'Institut israélien pour le renseignement et les missions spéciales, officiellement créé en 1951. Son histoire se confond à l'origine avec celle d'Isser Jarel, un fidèle de Ben Gourion, qui fonde d'abord le Shin Beth, chargé de la sécurité intérieure, avant de prendre la tête du Mossad. Il forgera la réputation du service extérieur de renseignement israélien avec des opérations comme l'enlèvement du nazi Adolf Eichmann en 1961.
Shin Beth (ou Shabak)
Service de sécurité intérieur israélien, créé en 1948, l'un des trois services de sécurité avec les renseignements militaires et le Mossad, il est chargé des territoires palestiniens. Son chef actuel est Youval Diskin.
Colonisation
Les autorités israéliennes ont lancé après la guerre de 1967 une politique de colonisation à caractère initialement défensif sur le modèle du Yichouv (foyer juif qui a précédé la création d'Israël). La nature de cette colonisation s'est modifiée avec la création à la même période du Bloc de la foi (Goush Emounim), fer de lance d'une colonisation national-religieuse. Avec le soutien de tous les gouvernements israéliens, cette colonisation n'a cessé de progresser, sauf à Gaza, évacué en 2005. Plus de 450 000 colons (dont plus de 200 000 dans la partie orientale de Jérusalem) vivent aujourd'hui en Cisjordanie répartis sur plus de 120 points de colonisation officiels.
Tsahal
Acronyme de "Armée de défense d'Israël" en hébreu. Elle est formée officiellement le 28 mai 1948, douze jours après la création de l'Etat. La colonne vertébrale de cette armée est constituée par la Haganah et par ses troupes de choc, le Palmach, ainsi que de groupes armés dissidents, l'Irgoun et le Lehi. Tsahal, qui repose depuis son origine sur la conscription, comprend tous les corps d'armée traditionnels, terre, air, mer ainsi que le renseignement.
samedi 22 septembre 2012
En septembre, la Palestine revient à l’ONU
En septembre, la Palestine revient à l’ONU
C'est un constat d'échec, mais la direction reste la même. Tirant un trait sur son rêve d'obtenir une pleine reconnaissance de leur Etat avant la conclusion d'un accord de paix avec Israël par le Conseil de sécurité des Nations unies (une manœuvre hasardeuse tentée sans succès en septembre 2011 et à laquelle l'administration américaine était opposée), la direction palestinienne revient à la charge avec l'intention présentée par le chef des négociateurs, Saeb Erekat, d'obtenir un statut d'Etat observateur permanent de la part de l'Assemblée générale onusienne où elle bénéficie déjà d'une majorité et où nul veto n'est à craindre.
Voici ce que dit l'ONU de ce statut dont bénéfice actuellement le Vatican :
"Les États non membres de l’ONU mais membres d’une ou de plusieurs institutions spécialisées peuvent demander le statut d’"observateur permanent". Ce statut relève de l’usage, car aucune disposition de la charte des Nations unies n’en fait état. Cet usage remonte à 1946, où le secrétaire général a accepté que le gouvernement suisse devienne observateur permanent auprès de l’organisation des Nations unies. Par la suite, certains États qui étaient représentés par des observateurs sont devenus membres ultérieurement : cela a été le cas de l’Autriche, de la Finlande, de l’Italie et du Japon. La Suisse est entrée à l’ONU le 10 septembre 2002. Les observateurs permanents ont le droit d’assister à la plupart des réunions et d’en consulter la documentation. De nombreux organismes régionaux et internationaux ont également le statut d’observateurs dans les travaux et les réunions annuelles de l’Assemblée générale."
Que peut espérer la direction palestinienne d'une intiative qui est présentée par Israël comme la preuve que les Palestiniens ne sont pas intéressés par des discussions de paix (les Palestiniens expliquant de leur côté que ces discussions, où ils sont en position de faiblesse, n'ont jamais rien donné)? Une victoire symbolique mais surtout la capacité de saisir des institutions internationales susceptibles d'embarrasser Israël comme le notait dès 2011 un rapport de l'International Crisis Group:
“Perhaps the most significant outcome of upgrading Palestine to a non-member state observer is that Palestine would have the opportunity, perhaps even the right, to accede to several human rights treaties and use their provisions to repeatedly embarrass Israel”.133 Should it be admitted to the relevant bodies, for example, Palestine theoretically could raise complaints against Israel for labour abuses against Palestinians in the International Labour Organisation or for violating the International Covenant on Civil and Political Rights. It could seek to join the Fourth Geneva Convention, designed to protect civilians in wartime; Switzerland, as depositary of that convention, would find it hard to deny membership once the Assembly decided Palestine is a state. The venues for activism most often cited by Palestinians are judicial: the International court of justice and, above all, the International criminal court."
Que dit cette nouvelle initiative? Que le cadre général du processus de paix lancé en 1993 est mort et enterré, que les relations israélo-palestiniennes relèvent désormais exclusivement de la guérilla diplomatique, bref que tout va raisonnablement pour le plus mal.
http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2012/09/21/en-septembre-la-palestine-revient-a-lonu
SALAH HAMOURI TÉMOIGNE POUR LES PRISONNIERS POLITIQUES PALESTINIENS
SALAH HAMOURI TÉMOIGNE POUR LES PRISONNIERS POLITIQUES PALESTINIENS - http://www.france-palestine.org - Association Fran...
LE MARDI 25 SEPTEMBRE à 20h30 à LANNION, Centre Savidan, salle 1
AFPS Trégor, mardi 25 septembre 2012
Après 7 années dans les geôles de l’occupant israélien pour délit d’opinion SALAH HAMOURI TÉMOIGNE POUR LES PRISONNIERS POLITIQUES PALESTINIENS Depuis 1967, plus de 800 000 Palestiniens ont connu les prisons israéliennes. SALAH HAMOURI a été un de ces prisonniers. Ce jeune Palestinien de citoyenneté française a été emprisonné à l’âge de 20 ans alors qu’il étudiait là l’université de Béthléem. Arrêté en 2005 en territoire palestinien par l’armée israélienne, il subit un interrogatoire de 90 jours, puis est placé 3 ans en détention administrative avant d’être jugé par un tribunal militaire qui le condamne pour « complot et appartenance aux jeunesses du Front Populaire de Libération de la Palestine », une organisation représentée au Conseil National Palestinien. Son procès, au motif qu’il aurait eu l’intention de participer à un attentat, relève, en l’absence de tout élément de preuve, de l’arbitraire total. Sa condamnation à 7 ans de prison ferme – après avoir dû plaider coupable pour s’éviter une peine de 14 ans - est symbolique de l’acharnement d’Israël à briser le peuple palestinien, en particulier ceux qui osent dénoncer l’occupation de leur pays et la politique d’épuration ethnique et d’apartheid à laquelle il est soumis. Il aurait suffi à Salah de « s’excuser » auprès de ses geôliers pour son engagement dans la résistance populaire, et donc de renier celui-ci pour pouvoir obtenir une remise de peine. Salah ayant continué de dénoncer l’occupation, rien ne lui aura été épargné : de la mise à l’isolement à la confiscation de ses livres… jusqu’au report de sa libération, en décembre dernier, 3 semaines après le terme officiel de sa peine ! Soumis à des restrictions de circulation, Salah n’a pu venir en France que depuis avril 2012 L’Association France-Palestine Solidarité Trégor aura le plaisir de recevoir Salah, le 25 septembre à Lannion. Il témoignera pour les quelques 4 700 Palestiniens actuellement détenus dans une trentaine de centres, tous situés en Israël, en violation de la 4ème Convention de Genève qui interdit les transferts forcés en dehors des territoires occupés. Parmi eux 210 enfants, 20 députés et 285 détenus administratifs ; la détention administrative, sans motif, légale en Israël, dure 6 mois, renouvelable durant 3 ans ! Depuis le printemps, les prisonniers politiques palestiniens ont engagé un important mouvement de grève de la faim pour obtenir la fin des détentions administratives, des mises à l’isolement et des humiliations, le droit de visite pour les familles de Gaza. Leur lutte courageuse a permis d ‘obtenir quelques libérations et le droit de visite des familles gazaouies… Mais le régime de la détention administrative n’a toujours pas été aboli et Israël a rapidement violé ses propres engagements : plusieurs prisonniers « libérés » ont presqu’aussitôt été replacés en détention administrative, les visites aux Gazaouis se font au compte-goutte… Plus encore, le Président d’Addamer, l’Association de soutien aux Prisonniers et de défense des droits Humains s’est vu, à 71 ans interdire de quitter le pays. La grève de la faim continue donc dans les prisons israéliennes… mais qui s’en soucie ? Pire encore, en juillet dernier, la Commission européenne a décidé de renforcer sa coopération – y compris militaire- avec Israël, au mépris de l’article 2 des accords d’association UE-Israël qui prévoit leur rupture en cas de non-respect des droits de l’homme… et en faisant fi de la suspension de ces accords, pourtant votée en mai 2005 par le Parlement européen lui-même !
C’est ce mur du mépris que l’AFPS vous invite à briser, en venant à la rencontre de Salah HAMOURI
LE MARDI 25 SEPTEMBRE à 20h30 à LANNION, Centre Savidan, salle 1
vendredi 21 septembre 2012
Arafat : fusion des enquêtes française et suisse - Le Point
Arafat : fusion des enquêtes française et suisse - Le Point
L'Autorité palestinienne consent à une ouverture de la tombe du défunt président pour prélever des échantillons.)
Les enquêteurs français et les experts d'un laboratoire suisse collaboreront à l'enquête sur la mort du dirigeant Yasser Arafat et pourront, le cas échéant, ouvrir sa tombe, indiquent vendredi des sources officielles palestiniennes et proches du dossier. Le neveu de Yasser Arafat et président de la Fondation Yasser Arafat, Nasser al-Qidwa, s'est déclaré jeudi opposé à des prélèvements sur la dépouille dans le cadre d'une enquête ouverte en France pour assassinat, estimant qu'un documentaire d'Al Jazeera avait "apporté la preuve matérielle" de son empoisonnement par Israël.
"Il a été décidé de la venue à Ramallah de l'équipe des enquêteurs français, simultanément à celle des experts de l'Institut de radiophysique-Centre médical universitaire de Lausanne, pour prélever des échantillons du corps du défunt président Yasser Arafat", a indiqué une source palestinienne proche du dossier, sous le couvert de l'anonymat.
Huitième anniversaire de la mort d'Arafat
Cette mission aura lieu "quelques jours après le huitième anniversaire de la mort d'Arafat, le 11 novembre prochain", a-t-on ajouté. "L'Autorité palestinienne a décidé d'unir les efforts et les travaux de la commission palestinienne, des enquêteurs français et des experts suisses sur la mort d'Arafat et consent à une ouverture de sa tombe pour prélever des échantillons de sa dépouille si cela est utile pour parvenir à la vérité", a dit, de son côté, le chef de la commission d'enquête palestinienne, Taoufiq Tiraoui.
"L'ouverture de la tombe du défunt président pour prélever des échantillons exige une décision de l'Autorité palestinienne, qui a déjà été communiquée, ainsi qu'une décision familiale", a-t-il déclaré. "Pour nous, la famille, ce sont sa femme, Souha, sa fille, Zahwa, et le représentant de la famille, le neveu Nasser al-Qidwa, mais dans la pratique des pays occidentaux, la famille est représentée uniquement par sa femme et sa fille. Par conséquent, les enquêteurs et l'équipe suisse viendront pour prélever des échantillons", a-t-il estimé.
http://www.lepoint.fr/monde/arafat-fusion-des-enquetes-francaise-et-suisse-21-09-2012-1508849_24.php
Association France Palestine Solidarité
http://www.france-palestine.org - Association France Palestine Solidarité
L’Association France Palestine Solidarité (AFPS) rassemble des personnes attachées au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et à la défense des droits humains. Elle a pour vocation le soutien au peuple palestinien notamment dans sa lutte pour la réalisation de ses droits nationaux. Elle regroupe plus de 4 000 adhérents, organisés en plus de 90 groupes en France.
http://www.france-palestine.org/
Pétition Ouvrir les portes a monsieur ABDALLAH -prisonnier- politiq - Petitions24.net
Pétition Ouvrir les portes a monsieur- ABDALLAH- prisonnier- politiq - Petitions24.net
http://www.petitions24.net/petition_ouvrir_les_portes_a_monsieur_abdallah_prisonnier_politiq
http://liberonsgeorges.over-blog.com/article-acharnement-judiciaire-contre-m-georges-ibrahim-abdallah-le-monde-diplomatique-mai-2012-104683600.html
samedi 28 juillet 2012
mardi 13 mars 2012
Sept Palestiniens, quatre combattants et trois civils, ont péri lundi dans des raids israéliens sur la bande de Gaza,d'où plus de 60 projectiles ont été tirés vers Israël, en dépit de contacts en cours sur une possible
d'où plus de 60 projectiles ont été tirés vers Israël, en dépit de contacts en cours sur une possible trève.
Au total, 25 Palestiniens, dont une majorité de membres de la branche armée du mouvement radical Jihad
islamique, les Brigades Al-Qods, ont été tués depuis le début de la confrontation vendredi, et plus de 70 blessés.
Deux Palestiniens ont été tués dans la soirée par un raid israélien à l'est de la ville de Gaza, selon les services
d'urgence dans le territoire palestinien gouverné par le mouvement Hamas.
Le Jihad islamique a précisé dans un communiqué que les deux victimes appartenaient à sa branche armée, qui a
revendiqué la plupart des tirs sur Israël depuis vendredi.
Une autre frappe en fin de soirée sur un terrain d'entraînement des Brigades al-Qods, dans le nord de l'enclave, n'a
pas fait de victime.
L'armée israélienne a confirmé un raid aérien dans le nord de la bande de Gaza visant des lanceurs de roquettes
contre Israël.
Auparavant, un homme de 65 ans et sa fille de 35 ans avaient été tués par un raid israélien sur le camp de réfugiés
de Jabaliya, au nord de la ville de Gaza.
Dans la matinée, un adolescent de 15 ans avait auparavant été atteint par une frappe aérienne dans le nord de
l'enclave côtière, selon les services d'urgence. Mais l'armée israélienne a catégoriquement démenti avoir lancé un
raid dans ce secteur lundi matin.
Plus tôt, un raid aérien près de Khan Younès (sud) avait tué deux combattants du Jihad islamique.
Une roquette Grad a touché une zone résidentielle à Ashdod, dans le sud d'Israël, provoquant des dégâts, selon le
porte-parole de la police israélienne, Micky Rosenfeld.
Une octogénaire a été blessée par des éclats de verre et plusieurs personnes traitées pour commotion, selon des
sources médicales israéliennes.
Depuis minuit (dimanche 22H00 MT), 42 roquettes et obus de mortier tirés de Gaza ont touché Israël et 24 autres
projectiles ont été interceptés par le système de défense antimissile Iron Dome (Dôme de fer), a indiqué l'armée
israélienne.
Au total, depuis vendredi, près de 150 projectiles sont tombés en Israël et plus de 50 autres ont été détruits en vol.
"L'armée israélienne est prête à étendre ses activités et les poursuivra aussi longtemps que nécessaire", a prévenu le
Premier ministre Benjamin Netanyahu.
A Gaza, le Premier ministre du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a fait état d'"efforts se poursuivant afin de protéger notre
peuple", à propos d'un éventuel cessez-le-feu. "Mais le chemin vers une accalmie est difficile à cause de l'agression
(israélienne) en cours", a-t-il souligné dans un communiqué.
Des contacts ont lieu depuis plusieurs jours entre le Hamas et Israël, via une médiation égyptienne, afin de
réinstaurer une trêve tacite et mettre fin aux violences.
Le Jihad islamique a toutefois rejeté les appels à un retour immédiat à la trêve avec Israël.
"Nous déclarons n'être engagés à aucune trêve avec l'ennemi imposant des conditions exorbitantes et nous
n'accepterons pas de trêve qui gaspille le sang de notre peuple, chaque fois que le veut l'ennemi", a déclaré un
porte-parole des Brigades Al-Qods dans une conférence de presse.
"Il n'y aura pas de trêve si ce n'est aux conditions de la résistance, à laquelle appartient le dernier mot sur le
terrain", a-t-il insisté.
La communauté internationale a manifesté son inquiétude face à cette flambée de violence.
Le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Russie, Union européenne et ONU), qui s'est réuni pour la première
fois depuis six mois, a exprimé sa profonde inquiétude devant le récente escalade et appelé au calme", selon un
communiqué.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, qui a participé à cette réunion à New York, a ensuite "condamné dans
les termes les plus forts les tirs de roquettes par des terroristes depuis la bande de Gaza".