UN SÉMINAIRE DES NATIONS UNIES SUR L’ASSISTANCE AU PEUPLE PALESTINIEN SE TIENDRA À AMMAN, EN JORDANIE, LES 19 ET 20 FÉVRIER 2008
Mandat et objectifs
Dans sa résolution 3236 (XXIX) du 22 novembre 1974, l’Assemblée générale a réaffirmé et précisé les droits inaliénables du peuple palestinien. Ces droits comprenaient :
le droit à l’autodétermination sans ingérence extérieure ;
le droit à l’indépendance et à la souveraineté nationale et
le droit des Palestiniens de retourner dans leurs foyers et vers leurs biens, d’où ils avaient été déplacés et déracinés.
Elle ajoutait que la réalisation de ces droits était indispensable au règlement de la question de Palestine.
L’année suivante, exprimant sa grave préoccupation devant le fait qu’aucun progrès n’avait encore été réalisé en vue de l’exercice par le peuple palestinien de ses droits inaliénables, l’Assemblée décidait de créer le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. Elle a prié le Comité de suivre la situation en gardant à l’étude la question de Palestine, de présenter un rapport et des suggestions à l’Assemblée générale ou au Conseil de sécurité, selon qu’il conviendrait, et de favoriser la plus large diffusion possible des renseignements concernant ses recommandations par l’intermédiaire des organisations non gouvernementales (ONG) et par d’autres moyens appropriés.
En exécution de ce mandat, le programme de travail du Comité a été progressivement élargi. Après la création en 1978 d’un groupe d’appui (qui allait par la suite être rebaptisé Division des droits des Palestiniens), le Comité a commencé à organiser des réunions, avec la société civile notamment, et conférences internationales dans toutes les régions, avec la participation, entre autres, de personnalités politiques, de représentants de gouvernements et d’organisations intergouvernementales, de hauts fonctionnaires de l’ONU, d’universitaires et de représentants des médias. Il a mis en place une coopération durable avec un vaste réseau d’ONG et autres institutions de la société civile s’occupant de la question de Palestine.
Pour marquer l’anniversaire de la résolution sur le partage de la Palestine, adoptée en 1947 par l’Assemblée générale, le 29 novembre a été proclamé Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien; à cette occasion, le Comité organise des manifestations spéciales au Siège de l’ONU à New York et parraine des activités analogues aux Offices des Nations Unies à Genève et à Vienne.
Composition du bureau du Comité
À l’heure actuelle, le Comité se compose de 22 membres :
Afghanistan, Afrique du Sud, Bélarus, Chypre, Cuba, Guinée, Guyana, Inde, Indonésie, Madagascar, Malaisie, Mali, Malte, Namibie, Nigéria, Pakistan, République démocratique populaire lao, Sénégal, Sierra Leone, Tunisie, Turquie et Ukraine.
Au total, 26 observateurs, dont l’Union africaine, la Ligue des États arabes et l’Organisation de la Conférence islamique, participent aux travaux du Comité. En vertu des résolutions 3210 (XXIX) et 3237 (XXIX) adoptées par l’Assemblée générale en 1974, ainsi que d’une décision prise par le Comité en 1976, l’OLP, en sa qualité de représentante du peuple palestinien et partie principale à La question de Palestine, est invitée à prendre part elle aussi en tant qu’observateur aux délibérations du Comité.
Le 7 février 2005, le Comité a élu son bureau, ainsi composé : Paul Badji, Représentant permanent du Sénégal auprès de l’ONU, Président; Ravan A.G. Farhâdi, Représentant permanent de l’Afghanistan auprès de l’ONU, et Orlando Requeijo Gual, Représentant permanent de Cuba auprès de l’ONU, Vice-Présidents; et Victor Camilleri, Représentant permanent de Malte auprès de l’ONU, Rapporteur.
http://www.un.org/News/fr-press/docs/2008/AGPAL1074.doc.htm
http://groups.google.com/group/madeinpalestine/browse_thread/thread/e5721586e6c745f8?hl=fr
Mandat et objectifs
Dans sa résolution 3236 (XXIX) du 22 novembre 1974, l’Assemblée générale a réaffirmé et précisé les droits inaliénables du peuple palestinien. Ces droits comprenaient :
le droit à l’autodétermination sans ingérence extérieure ;
le droit à l’indépendance et à la souveraineté nationale et
le droit des Palestiniens de retourner dans leurs foyers et vers leurs biens, d’où ils avaient été déplacés et déracinés.
Elle ajoutait que la réalisation de ces droits était indispensable au règlement de la question de Palestine.
L’année suivante, exprimant sa grave préoccupation devant le fait qu’aucun progrès n’avait encore été réalisé en vue de l’exercice par le peuple palestinien de ses droits inaliénables, l’Assemblée décidait de créer le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. Elle a prié le Comité de suivre la situation en gardant à l’étude la question de Palestine, de présenter un rapport et des suggestions à l’Assemblée générale ou au Conseil de sécurité, selon qu’il conviendrait, et de favoriser la plus large diffusion possible des renseignements concernant ses recommandations par l’intermédiaire des organisations non gouvernementales (ONG) et par d’autres moyens appropriés.
En exécution de ce mandat, le programme de travail du Comité a été progressivement élargi. Après la création en 1978 d’un groupe d’appui (qui allait par la suite être rebaptisé Division des droits des Palestiniens), le Comité a commencé à organiser des réunions, avec la société civile notamment, et conférences internationales dans toutes les régions, avec la participation, entre autres, de personnalités politiques, de représentants de gouvernements et d’organisations intergouvernementales, de hauts fonctionnaires de l’ONU, d’universitaires et de représentants des médias. Il a mis en place une coopération durable avec un vaste réseau d’ONG et autres institutions de la société civile s’occupant de la question de Palestine.
Pour marquer l’anniversaire de la résolution sur le partage de la Palestine, adoptée en 1947 par l’Assemblée générale, le 29 novembre a été proclamé Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien; à cette occasion, le Comité organise des manifestations spéciales au Siège de l’ONU à New York et parraine des activités analogues aux Offices des Nations Unies à Genève et à Vienne.
Composition du bureau du Comité
À l’heure actuelle, le Comité se compose de 22 membres :
Afghanistan, Afrique du Sud, Bélarus, Chypre, Cuba, Guinée, Guyana, Inde, Indonésie, Madagascar, Malaisie, Mali, Malte, Namibie, Nigéria, Pakistan, République démocratique populaire lao, Sénégal, Sierra Leone, Tunisie, Turquie et Ukraine.
Au total, 26 observateurs, dont l’Union africaine, la Ligue des États arabes et l’Organisation de la Conférence islamique, participent aux travaux du Comité. En vertu des résolutions 3210 (XXIX) et 3237 (XXIX) adoptées par l’Assemblée générale en 1974, ainsi que d’une décision prise par le Comité en 1976, l’OLP, en sa qualité de représentante du peuple palestinien et partie principale à La question de Palestine, est invitée à prendre part elle aussi en tant qu’observateur aux délibérations du Comité.
Le 7 février 2005, le Comité a élu son bureau, ainsi composé : Paul Badji, Représentant permanent du Sénégal auprès de l’ONU, Président; Ravan A.G. Farhâdi, Représentant permanent de l’Afghanistan auprès de l’ONU, et Orlando Requeijo Gual, Représentant permanent de Cuba auprès de l’ONU, Vice-Présidents; et Victor Camilleri, Représentant permanent de Malte auprès de l’ONU, Rapporteur.
http://www.un.org/News/fr-press/docs/2008/AGPAL1074.doc.htm
http://groups.google.com/group/madeinpalestine/browse_thread/thread/e5721586e6c745f8?hl=fr
Dans sa résolution 3236 (XXIX) du 22 novembre 1974, l’Assemblée générale a réaffirmé et précisé les droits inaliénables du peuple palestinien. Ces droits comprenaient :
RépondreSupprimerle droit à l’autodétermination sans ingérence extérieure ;
le droit à l’indépendance et à la souveraineté nationale et
le droit des Palestiniens de retourner dans leurs foyers et vers leurs biens, d’où ils avaient été déplacés et déracinés.